"The Cocks of the Tiger", à Buc le 27/11/2011
Cocks of the Tiger. Le nom en impose… Le lieu aussi : Buc. Un animal mythologique peut-être ? Ou alors une ville devant le panneau de laquelle il faut éviter de tourner, si on ne veut pas prendre DEUX FOIS (aller – retour) le tunnel de l’A86. 12€, plus d’éventuelles prunes à cause des radars pour un passage plus qu’inutile à Rueil-Malmaison, c’est cher payé. Notre coach nous a fait croire au complot GPS Samsung/Vinci, mais nous savons très bien que tout cela est lié aux évènements qui se sont déroulés à Yves-du-Manoir la veille. Quoiqu’il en soit, le XV du Steak sait que ce matin-là sera un test, face à une grande équipe de l’AFFR.
Le terrain brumeux, le froid mordant, la rosée importante auraient pu faire trembler une pastèque. Mais une pastèque est le contraire du Steak, qui se motive et s’échauffe avec la méditation philosophique qui s’impose : « Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal ».
Trêve de fruits et légumes. Coup d’envoi donc, donné par le Steak sur la plaine sibérienne du stade de Buc. Immédiatement, les avants Steakos, boostés par la phrase sus-citée, font un gros travail conclu par deux belles courses ! Le Steak marque un essai à la première minute ! Le reste de la première mi-temps alterne les occupations de terrain, les défenses à 5 mètres, les coups de pied à tire-larigot ; le Steak, pourtant un peu brouillon, se laisse guider par le grand philosophe Luis Fernandes qui disait très justement : « Le cœur donne la direction ; le cerveau la solution et le corps la concrétisation ». Effectivement le Steak concrétise un gros travail physique par un essai ! 2-0 à la mi-temps, avantage Steak.
A la reprise, les Cocks font savoir qu’ils ont un physique, font parler leur puissance et pilonnent. Ils courent aussi, si bien qu’ils finissent par marquer un essai en bout de ligne. 2-1 au tableau d’affichage, le Steak défend, récupère quelques ballons, en perd d’autres. Quelques belles cartouches des deux côtés, et on aimerait bien être libre de profiter d’une bière. En se souvenant des paroles du grand Périclès en son temps, « Il n’est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage », les p’tits Steakos ne lâchent rien…
2-1 score final, et une belle victoire constructive pour le Steak. Une victoire d’autant plus agréable que l’esprit était bon pendant ce match, un immense merci aux Cocks pour leur beau rugby et leur savoir-vivre (qui inclut le houblon de l’amitié !). Un immense merci également à M. Albaladejo, notre arbitre officiel qui a bravé le froid pour nous offrir son arbitrage de grande qualité !
Le terrain brumeux, le froid mordant, la rosée importante auraient pu faire trembler une pastèque. Mais une pastèque est le contraire du Steak, qui se motive et s’échauffe avec la méditation philosophique qui s’impose : « Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal ».
Trêve de fruits et légumes. Coup d’envoi donc, donné par le Steak sur la plaine sibérienne du stade de Buc. Immédiatement, les avants Steakos, boostés par la phrase sus-citée, font un gros travail conclu par deux belles courses ! Le Steak marque un essai à la première minute ! Le reste de la première mi-temps alterne les occupations de terrain, les défenses à 5 mètres, les coups de pied à tire-larigot ; le Steak, pourtant un peu brouillon, se laisse guider par le grand philosophe Luis Fernandes qui disait très justement : « Le cœur donne la direction ; le cerveau la solution et le corps la concrétisation ». Effectivement le Steak concrétise un gros travail physique par un essai ! 2-0 à la mi-temps, avantage Steak.
A la reprise, les Cocks font savoir qu’ils ont un physique, font parler leur puissance et pilonnent. Ils courent aussi, si bien qu’ils finissent par marquer un essai en bout de ligne. 2-1 au tableau d’affichage, le Steak défend, récupère quelques ballons, en perd d’autres. Quelques belles cartouches des deux côtés, et on aimerait bien être libre de profiter d’une bière. En se souvenant des paroles du grand Périclès en son temps, « Il n’est point de bonheur sans liberté, ni de liberté sans courage », les p’tits Steakos ne lâchent rien…
2-1 score final, et une belle victoire constructive pour le Steak. Une victoire d’autant plus agréable que l’esprit était bon pendant ce match, un immense merci aux Cocks pour leur beau rugby et leur savoir-vivre (qui inclut le houblon de l’amitié !). Un immense merci également à M. Albaladejo, notre arbitre officiel qui a bravé le froid pour nous offrir son arbitrage de grande qualité !
"Les Papas Rians", le 19/11/2011 à Suzanne Lenglen
Un proverbe chinois dit « Une baguette est facile à casser, quinze baguettes sont dures comme fer. » Comme il faut se battre quand on est chauds, l’échauffement est primordial. Celui du Steak se fait au rythme des arrivées des retardataires, mais peu importe, si on est suffisamment pour quadriller à 10h20 au coup d’envoi. Le soleil levant nous délivre quelques timides rayons qui peinent à nous réchauffer, mais il faut réapprendre à jouer dans le froid (et bien oui parce que c’est bientôt l’hiver), et c’est en forgeant qu’on devient forgeron. Capitaines, prêts ?
L’engagement physique est très intense dès les premiers plaquages. L’engagement mental est visible dès les premiers rucks. Mais comme dit le proverbe arabe « Ne dis pas tes peines à autrui ; l'épervier et le vautour s'abattent sur le blessé qui gémit. » L’occupation du terrain est à peu près égale, sans qu’aucune des deux équipes n’approche réellement de la ligne d’essai adverse. Les défenses sont ardentes, les attaques peinent à trouver des failles, à l’avant ou à l’arrière. 0-0 à la mi-temps, le Steak et les Papas Rians se jugulent.
On est remis tout de suite dans le bain à la reprise. A côté de l’Aquaboulevard, soit, mais surtout parce que l’engagement est toujours là. Le Steak prend mieux ses marques en touche et ne lâche rien. Les Papas non plus d’ailleurs. La deuxième mi-temps paraît longue. Non pas qu’on s’embête (loin de là), mais le combat est âpre. Le Steak devient plus patient dans ses ballons, et comme dit le proverbe africain, «au bout de la patience, il y a le ciel », ou plus précisément l’embut des Papas à la 78ème après un bon temps de jeu ! Le Steak grillé s’arrache dans les deux dernières minutes pour défendre et finit par botter en touche. « Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux »
1-0 pour le Steak, score final. Un combat intense, voire très intense. Mais c’est du rugby, ça passe par là. Un grand merci aux Papas Rians pour leur terrain et leur arbitre qui a su gérer le match !
L’engagement physique est très intense dès les premiers plaquages. L’engagement mental est visible dès les premiers rucks. Mais comme dit le proverbe arabe « Ne dis pas tes peines à autrui ; l'épervier et le vautour s'abattent sur le blessé qui gémit. » L’occupation du terrain est à peu près égale, sans qu’aucune des deux équipes n’approche réellement de la ligne d’essai adverse. Les défenses sont ardentes, les attaques peinent à trouver des failles, à l’avant ou à l’arrière. 0-0 à la mi-temps, le Steak et les Papas Rians se jugulent.
On est remis tout de suite dans le bain à la reprise. A côté de l’Aquaboulevard, soit, mais surtout parce que l’engagement est toujours là. Le Steak prend mieux ses marques en touche et ne lâche rien. Les Papas non plus d’ailleurs. La deuxième mi-temps paraît longue. Non pas qu’on s’embête (loin de là), mais le combat est âpre. Le Steak devient plus patient dans ses ballons, et comme dit le proverbe africain, «au bout de la patience, il y a le ciel », ou plus précisément l’embut des Papas à la 78ème après un bon temps de jeu ! Le Steak grillé s’arrache dans les deux dernières minutes pour défendre et finit par botter en touche. « Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux »
1-0 pour le Steak, score final. Un combat intense, voire très intense. Mais c’est du rugby, ça passe par là. Un grand merci aux Papas Rians pour leur terrain et leur arbitre qui a su gérer le match !
"Entre les Potos", le 12/11/2011 à Polygone
Vincennes, 9h30. Pour certains, c’est peu après s’être couché. Mais pour tous, le même plaisir de se lever le samedi matin pour retrouver les copains et chausser les crampons. Un ciel bleuté, une température idéale, un terrain de qualité et un arbitre avec un beau maillot, ce match s’annonce bien.
L’entame de match est à l’avantage du Steak, avec un premier essai sur coup de pied et un autre avec la classique touche à 5 mètres, cocotte et on pouuuuusse ! Cette vision aurait submergé le coach des Steakos de bonheur. Mais comme par hasard, il n’est pas là quand on fait des beaux matches… A la fin de la première mi-temps, le steak est sur sa ligne et défend ardemment contre Les Potos vaillants pour que ces derniers n’arrivent pas entre les leurs. 2-0, avantage Steak.
En deuxième mi-temps, le combat devant est rude. Les tas de copains (aussi appelés ruck apparemment) s’enchaînent, ça recule de 10 mètres (pas vraiment 10 mètres en fait, donc re-10 mètres à reculer…), ça percute, ça rentre, ça cogne et BIM ! Les avants Potos plantent deux essais, mais le Steak n’est pas bleu. Avec quelques belles échappées, les steakos en marquent trois, dont un après une partie de football, ça jouait du pied de tous les côtés! Je sais, on est à Polygone, mais bon…
Score final 5 à 2 pour le Steak. Un très beau match face à des Potos en béton, qui aime jouer le beau rugby ! Un grand merci à notre arbitre, Mr Albaladejo qui nous a régalés de son professionnalisme ! Et le XV du Steak continue son petit bonhomme de chemin, et prend toujours plus de plaisir à jouer le samedi matin. Il n’y a que ça qui nous fasse mettre un réveil !
L’entame de match est à l’avantage du Steak, avec un premier essai sur coup de pied et un autre avec la classique touche à 5 mètres, cocotte et on pouuuuusse ! Cette vision aurait submergé le coach des Steakos de bonheur. Mais comme par hasard, il n’est pas là quand on fait des beaux matches… A la fin de la première mi-temps, le steak est sur sa ligne et défend ardemment contre Les Potos vaillants pour que ces derniers n’arrivent pas entre les leurs. 2-0, avantage Steak.
En deuxième mi-temps, le combat devant est rude. Les tas de copains (aussi appelés ruck apparemment) s’enchaînent, ça recule de 10 mètres (pas vraiment 10 mètres en fait, donc re-10 mètres à reculer…), ça percute, ça rentre, ça cogne et BIM ! Les avants Potos plantent deux essais, mais le Steak n’est pas bleu. Avec quelques belles échappées, les steakos en marquent trois, dont un après une partie de football, ça jouait du pied de tous les côtés! Je sais, on est à Polygone, mais bon…
Score final 5 à 2 pour le Steak. Un très beau match face à des Potos en béton, qui aime jouer le beau rugby ! Un grand merci à notre arbitre, Mr Albaladejo qui nous a régalés de son professionnalisme ! Et le XV du Steak continue son petit bonhomme de chemin, et prend toujours plus de plaisir à jouer le samedi matin. Il n’y a que ça qui nous fasse mettre un réveil !
"Demis de mêlée", le 22/10/2011 à Bagatelle
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit Bagatelle,
Je combattrai. Vois-tu, je sais que l’on m’attend.
J’irai par le plaquage, bien sûr sans mon attelle,
Je ne puis rester loin du ballon plus longtemps.
Ah Le grand Victor n’eût pas mieux décrit l’état d’esprit dans lequel nous nous sommes retrouvés, par temps de blizzard, ce samedi matin-là.
Après un plutôt bon début de saison, malgré une courte défaite face à la Drink Team, c’est un Steak maigre (16 joueurs) qui se présente face aux Demis de mêlée plus nombreux (24 joueurs)… mais non sans envie.
Dès le début, l’engagement physique est présent des deux côtés. Chaque ruck est une nouvelle bataille des Ardennes ! Le steak, privé de ses botteurs habituels, peine un peu au pied mais se rattrape en touche, face à des demis habiles sur leurs appuis (demis de KRO-cheteurs). 2-0 à la mi-temps pour le steak.
A la reprise, les doigts encore plus cyanosés qu’avant, le message est clair : aucune des deux équipes ne lâchera quoi que ce soit. Les démonstrations de testostérone se font ressentir, notamment dans les rucks. Le steak parvient à trouver deux fois de plus le chemin de l’embut, alors que loin d’être une demi-défense, la défense des demis était solide ! Côté steak, malgré le manque d’effectif, on était cuit sans être grillés, ce qui leur a permis de rester imperméable et de tenir jusqu’au coup de sifflet final...
4-0, score final. Le steak continue sur sa bonne lancée !
Un arbitrage impeccable pour les deux mi-temps et un adversaire amoureux du jeu ont permis de faire de cette chambre froide ouest-parisienne un beau terrain de rugby ! Merci à eux !
Je combattrai. Vois-tu, je sais que l’on m’attend.
J’irai par le plaquage, bien sûr sans mon attelle,
Je ne puis rester loin du ballon plus longtemps.
Ah Le grand Victor n’eût pas mieux décrit l’état d’esprit dans lequel nous nous sommes retrouvés, par temps de blizzard, ce samedi matin-là.
Après un plutôt bon début de saison, malgré une courte défaite face à la Drink Team, c’est un Steak maigre (16 joueurs) qui se présente face aux Demis de mêlée plus nombreux (24 joueurs)… mais non sans envie.
Dès le début, l’engagement physique est présent des deux côtés. Chaque ruck est une nouvelle bataille des Ardennes ! Le steak, privé de ses botteurs habituels, peine un peu au pied mais se rattrape en touche, face à des demis habiles sur leurs appuis (demis de KRO-cheteurs). 2-0 à la mi-temps pour le steak.
A la reprise, les doigts encore plus cyanosés qu’avant, le message est clair : aucune des deux équipes ne lâchera quoi que ce soit. Les démonstrations de testostérone se font ressentir, notamment dans les rucks. Le steak parvient à trouver deux fois de plus le chemin de l’embut, alors que loin d’être une demi-défense, la défense des demis était solide ! Côté steak, malgré le manque d’effectif, on était cuit sans être grillés, ce qui leur a permis de rester imperméable et de tenir jusqu’au coup de sifflet final...
4-0, score final. Le steak continue sur sa bonne lancée !
Un arbitrage impeccable pour les deux mi-temps et un adversaire amoureux du jeu ont permis de faire de cette chambre froide ouest-parisienne un beau terrain de rugby ! Merci à eux !
"Drink Team", le 15/10/2011 à Bagatelle
Heureusement que l'AFFR existe les jours de demi-finale de l'Equipe de France, cela permet de voir un rugby plus ambitieux.
C'est donc avec un horaire inhabituel (17h) que s'est tenu un des Clasico du 16e entre la Drink Team , une des meilleures équipes AFFR , et le jeune STEAK.
Dans un match agréable à suivre et à jouer, il aura fallu attendre la 78e minute pour qu'un vainqueur se dégage et marque le 3e essai cruel pour le vaillant steak.
En effet, après avoir ouvert le score en inscrivant le premier essai, le Steak a connu quelques doutes en étant mené par la suite 2 essais à 1.
Mais c'est sans compter les ressources du Steak qui a su revenir dans la foulée pour revenir à 2-2 au cours de la deuxième mi temps.
Puis, chacun connait la fin: ce fameux essai à la 78ème qui donne la victoire à cette solide équipe de la Drink Team.
Joué dans un bon esprit, arbitré par un arbitre officiel, ce qui éclaircit toujours le jeu, ce match a encore marqué la progression de la jeune équipe du Steak, qui a décidé d'affronter les plus forts pour élever progressivement son niveau.
C'est donc avec un horaire inhabituel (17h) que s'est tenu un des Clasico du 16e entre la Drink Team , une des meilleures équipes AFFR , et le jeune STEAK.
Dans un match agréable à suivre et à jouer, il aura fallu attendre la 78e minute pour qu'un vainqueur se dégage et marque le 3e essai cruel pour le vaillant steak.
En effet, après avoir ouvert le score en inscrivant le premier essai, le Steak a connu quelques doutes en étant mené par la suite 2 essais à 1.
Mais c'est sans compter les ressources du Steak qui a su revenir dans la foulée pour revenir à 2-2 au cours de la deuxième mi temps.
Puis, chacun connait la fin: ce fameux essai à la 78ème qui donne la victoire à cette solide équipe de la Drink Team.
Joué dans un bon esprit, arbitré par un arbitre officiel, ce qui éclaircit toujours le jeu, ce match a encore marqué la progression de la jeune équipe du Steak, qui a décidé d'affronter les plus forts pour élever progressivement son niveau.
"Océan", le 1/10/2011 à Choisy-le roi
Le XV du Steak était bien content de se déplacer à Choisy pour trouver une pelouse digne de ce nom. La météo était au rendez-vous, ce qui permit aux mamans océaniques d'amener leurs rejetons prendre le soleil. Que ne ferait on pas pour respirer l'air de l'Ocean ?
L'arbitre, Guillaume, fut au rendez-vous au niveau de la qualité de ce match fort agréable à suivre.
Le steak atteint la mi temps de la première mi-temps avec deux essais d'avance , mais ce qui fut visible dès le départ, soit un pack costaud chez les océaniques , ou certaines masses physiques plus imposantes chez les hommes verts , finit par payer suite a un surnombre ou à de mauvais placages. Les Océans rattrapèrent leur retard pour un score qui fut de 3 - 3 à la mi-temps.
Nul n'aurait pensé au vu la fin de la première mi temps que le steak ne subirait pas les coups de butoir d'Ocean et pourtant , c'est le steak qui l'emporta avec un essai de contre en fin de 2e mi-temps et avec une fraicheur physique semble t'il supérieure. Tout cela avec une équipe profondément remaniée derrière , ou personne n'occupait sa place.
Pour résumer , un match très agréable, entre 2 équipes joueuses, sur une superbe pelouse, entre 2 équipes de bon esprit , très bien arbitré .
Que demander de plus quand on se lève à 7h du matin, que l'on doit traverser Paris après un match merdique de l'Equipe de France. Mais l'Equipe de France on s'en fout quand on vit de bons moments entre potes et adversaires comme celui là.
L'arbitre, Guillaume, fut au rendez-vous au niveau de la qualité de ce match fort agréable à suivre.
Le steak atteint la mi temps de la première mi-temps avec deux essais d'avance , mais ce qui fut visible dès le départ, soit un pack costaud chez les océaniques , ou certaines masses physiques plus imposantes chez les hommes verts , finit par payer suite a un surnombre ou à de mauvais placages. Les Océans rattrapèrent leur retard pour un score qui fut de 3 - 3 à la mi-temps.
Nul n'aurait pensé au vu la fin de la première mi temps que le steak ne subirait pas les coups de butoir d'Ocean et pourtant , c'est le steak qui l'emporta avec un essai de contre en fin de 2e mi-temps et avec une fraicheur physique semble t'il supérieure. Tout cela avec une équipe profondément remaniée derrière , ou personne n'occupait sa place.
Pour résumer , un match très agréable, entre 2 équipes joueuses, sur une superbe pelouse, entre 2 équipes de bon esprit , très bien arbitré .
Que demander de plus quand on se lève à 7h du matin, que l'on doit traverser Paris après un match merdique de l'Equipe de France. Mais l'Equipe de France on s'en fout quand on vit de bons moments entre potes et adversaires comme celui là.